C’est à travers la bande dessinée, le breakcore, le 8-bit, le moyen-age, l’indus, les affiches de cinéma et de propagande, le post punk, l’art brut ou encore la bad painting que Piet du Congo a trouvé les ressorts de son esthétique. L’esprit du DIY (do it yourself) anime sa démarche expérimentale aussi bien dans le dessin , le tatouage que la musique. Il s’est donc assez vite senti à l’étroit dans les salons de tatouage. Il investit donc d’autres espaces – des salles de concerts ou d’ expos , les maisons d’édition, en passant par chez toi, des lieux au final plus en adéquation avec ses centres d’intérêts. Il tente aussi de créer des Tattoo Temporary Autonomous Zones (TTAZ) investissant le lieu avec dessin et musique et plus si affinité. Ci-dessous ses réalisations en tatouage
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